Genres : Erotique/ Lemon/ PWP

Orientation sexuelle : Hétéro

Rating : 18+

Couple : Mirajane x Luxus

Résumé : Mirajane aime la torture, ressentir ce sentiment de domination sur des personnes encore plus fortes qu'elle, et Luxus va en faire les frais... ou pas.

Mon blabla : Ca faisait longtemps que je n'avais pas écrit sur Fairy tail, et cette histoire est... disons... spéciale! Pas n'importe qui peut la lire, et les âmes sensibles feraient mieux de s'abstenir.

Sadisme : Perversion dans laquelle la satisfaction sexuelle ne peut être obtenue qu'en infligeant des souffrances physiques ou morales au partenaire.

Masochisme : Déviation sexuelle dans laquelle le sujet ne trouve le plaisir que dans la douleur physique et les humiliations qui lui sont infligées.

Il attendait sans faire aucun, seuls sa respiration lente et le rythme accéléré de son cœur comblaient le silence d'or de la pièce. A l'intérieur de lui, c'était l'ébullition. Son sang bouillonnait d'une excitation qu'il n'avait encore jamais ressenti, son cœur battant tellement vite que ses tempes en devenaient douloureuses, ses poignets attachés solidement dont il ne ressentait presque plus la présence tant les liens étaient serrés, sa respiration dont il tentait de garder un rythme lent et régulier alors que sa jubilation était à son grand summum.

Jamais, mais au grand jamais, il n'aurait pensé ressentir une telle impatience à l'idée même d'être battu.

Chacun de ses sens était aux aguets, bien que ce fut inutile puisqu'il était capable de repérer une mouche voler sans même se concentrer. La lumière tamisée donnait à la pièce un air de mauvais film d'horreur, impression qui ne fit qu’amplifier quand il aperçut les traits fins d'un visage apparaître dans le pénombre et s'approcher de lui à pas de loup alors qu'il distinguait très clairement de son ouïe sur-développée les légers craquement sous son poids.

Le rythme de son cœur devint encore plus saccadé, jamais il n'aurait crut que sa camarade soit ce genre de personne.

Oui, sous sa forme démoniaque, habillée de façon très légère et pourtant diablement sexy, un sourire sadique étirant ses lèvres maquillées d'un rouge sang, une paire de menottes à la main, Mirajane Strauss n'avait jamais été aussi attirante qu'à ce moment précis.

Elle arriva au niveau du lit sur lequel il avait été attaché et Luxus eut le loisir de voir sa tenue en détailles. Vraiment délicieuse,avec un ensemble rouge à flammes jaunes, une tête de mort sur le bas, un haut cachant à peine sa poitrine généreuse, des bas et des mitaines à carreaux accentuant son côté indomptable, et quelques accessoire entourant judicieusement certaines parties de son anatomie, sans oublier les menottes en métal qu'elle exposait devant ses yeux avec un sourire sadique.

Une chaleur agréable parvint en afflux de sang à sa virilité qui se dressa dans son pantalon, jamais il n'aurait crut qu'une fille aux aspects si doux puisse être aussi... bandante. Et c'était le mot. Bandante comme il n'en avait jamais bandé de sa vie. Une érection si douloureuse à sa simple vue qu'il craignait d'en perdre ses moyens.

La démone eut un rictus satisfait en voyant l'effet qu'elle lui produisait, et doucement, elle se pencha sur son torse, atteignant ses tétons qu'elle mordilla sans douceur, les faisant durcir à son contact avant de remonter avec avidité jusqu'à atteindre son cou sur lequel elle laissa quelques suçons aux marques bien violacées. Luxus pensa que jamais une douleur n'avait été aussi bonne et excitante.

Elle remplaca les liens qui aspiraient la magie par les menottes, le blond s'imaginait bien que si il forçait, il ne mettrait pas longtemps à les briser mais il était loin d'avoir ce genre d'envies. Non, pour l'instant, il voulait encore profiter de ma torture à laquelle il avait droit.

Les yeux brillants de lubricité, la jeune femme aux pouvoirs démoniaques vint enjamber le corps de son partenaire soumis, profitant de sa supériorité apparente au maximum. De ses doigts manucurés de rouge, elle s'amusa à taquiner l'entrejambe gonflée du chasseur de dragons à travers son pantalon, la masturbant tout en se délectant des gémissements de plaisirs de sa proie.

C'était jouissif.

Puis, elle dézippa sauvagement la fermeture de son pantalon, déchirant par la même occasion son boxeur et quelques poils blonds de son pubis qui étaient visiblement trop proches du zip, dommages pour eux, tant mieux pour elle.

La verge dressée à l'extrême sur laquelle coulait quelques gouttes de pré-sperme fut ainsi libérée, exposée aux yeux bleus électriques de la démone qui se pourlécha les lèvres, une lueur perverse dansant dans ses pupilles.

A cette vision plus qu'orgasmique, le sexe douloureux de l'homme fit un drôle de mouvement et une infime partie du liquide blanc en sortit, rien qu'avec ça il n'en pouvait déjà plus.

Mirajane sourit, dirigea sa main vers l'anatomie de son camarade ; mais, faisant preuve d'une cruauté odieuse, elle changea de direction au dernier moment et alla pincer ses tétons durs, lui amenant des petits cris qui montraient parfaitement sa frustration. 

La blanche décida alors qu'elle avait assez joué. Elle se redressa et fit descendre le pantalon du mage de la foudre en bas de ses jambes d'un mouvement brusque, le laissant ainsi totalement nu à ses yeux gourmands de prédatrice.

Elle tendit la main sur sa table de chevet et tata : sur celle-ci se trouvait un fouet, une autre paire de menottes, une cravache, un foulard en soie, une laisse, des pinces à linge, un martinet, des électrodes et... un godemiché ! Elle sourit sadiquement avant de se saisir du gode, ce soir, ça serait son second jouet, le premier étant l'homme blond sous elle.

Luxus écarquilla les yeux en voyant ce qu'elle tenait en main, elle voulait vraiment lui faire ce qu'il pensait ?! C'était quoi ce délire ! La sodomie, non merci ! Il n'y avait que les pédales à qui ce genre de chose pouvait plaire !

Et pourtant...

Quelque chose dans le regard de sa dominatrice l'incita à ne pas se rebeller, elle détacha ses menottes qui avaient formées des bleus sur ses poignets et le fit se retourner, exposant son anneau de chair contracté à son regard, ce qui ne fit que l'exciter d'avantage. Tant pis pour lui, plus il stressait, plus il aurait mal, et plus elle en tirerait de la satisfaction.

Elle introduit le sexe en plastique dans la bouche de son soumis, le lubrifiant avec sa salive, le chasseur faillit s'étouffer avec tant l'objet était gros. Une fois le membre suffisamment lubrifié, elle le dirigea devant son intimité et l'introduit avec bestialité, profitant pleinement du bruit de douleur et de plaisir mêlés au moment où le godemiché atteint la prostate du Drear.

Mirajane recommença, toujours plus fort, toujours plus vite, toujours plus loin, chaque gémissement était à régal à ses oreilles, chaque perle de sueur l'excitait un peu plus, chaque respiration se faisait plus saccadée. Elle y alla tellement fort que les parois internes de l'ancien banni se blessèrent, le faisant légèrement saigner. Elle gémit de satisfaction, tellement mouillée à l'entente des onomatopées que produisait son camarade qu'elle avait l'impression que même une triple pénétration ne lui ferait rien.

Luxus aimait, il aimait tellement cette douleur en lui, cette impression ne viol qu'il ne pensait jamais ressentir. Ce faux membre en lui lui faisait atteindre le septième ciel, il sentait qu'il était au plus proche de la jouissance...

… quand la démone stoppa tout.

Elle reposa le gode sur la table de chevet, un sourire vainqueur collé aux lèvres sans qu'il n'ait put connaître la volupté de la libération.

Le fils du maître voulu protester, mais la jeune femme étouffa sa plainte à l'aide d'un baiser des plus animal.

Le mage n'en pouvait plus, il se sentait tellement frustré et près à se libérer qu'il était au bord des larmes. Pourtant, il aimait... il aimait tellement... Ce n'était pas juste !

Il était sur le point de laisser échapper un sanglot quand il sentit Mira se dandiner sur lui, retirer sa tenue sexy pour s'exposer elle également à son regard lubrique qui l'examina, elle était sans conteste la plus belle femme qu'il avait eut dans son lit, même si ça n'était pas son lit.

L’aînée des Strauss ne fit se retourner et fixa quelques secondes sa virilité rougie et tendue plus qu'elle ne le devrait, elle devait vraiment être douloureuse, tant mieux.

Elle s'empala sur la verge et commença ses vas-et-viens dessus, passant ses mains dans le dos musclé de son amant tout en griffant sa peau nue, le faisant quelque peu saigner. Luxus se laissa aller à son plaisir masochiste, se libérant enfin dans un râle inhumain ; cette nuit était sans hésitation la meilleure baise de sa vie.