• Curiosity

    Genres : Romance/ Humour/ Lemon
     
    Orientation sexuelle : Yaoi 
     
    Rating : 18+
     
    Couple : Rei x Nagisa
     
    Résumé : Rei n'était pas un stalker, pas du tout...Et il n'était pas entrain d'espionner Nagisa, absolument pas... Il était juste... curieux. Bon d'accord, il était aussi carrément jaloux.
     
    Mon blabla : Ça faisait vraiment longtemps que j'avais envie d'écrire un lemon sur eux deux. Allez savoir pourquoi j'imagine toujours un Rei hyper timide  qui rougit à chaque fois et un Nagisa sensuel qui le taquine tout le temps.
     
     
     S'il y avait bien une chose dont il ne fallait pas douter, c'était que Nagisa Hazuki, sous ses faux airs de gamin innocent, était quelqu'un de très vicieux, et de sensuel, qui aimait par dessus tout jouer des tours à ses équipiers. Un farceur se cachant derrière sa carrure candide pour mieux rire de ses espiègleries. Diabolique. Au fur et à mesure, chacun s'en était plus ou moins rendu compte, en particulier Rei qui était la principale personne sur qui ce petit démon avait jeté sa comédie, avec Gou évidemment.

    Seulement, ces derniers temps, quelque chose ne tournait pas rond. Le blond était certes toujours aussi enjoué et bout-en-train, mais il lui semblait qu'il se forçait un peu plus à sourire qu'à l'accoutumée. Et surtout, lui qui, auparavant, habitant proche de chez lui, insistait tous les matins et tous les soirs pour faire un bout de chemin avec lui, il n'était pas rare qu'il lui fausse compagnie, en particulier à la fin des cours.

    Le binoclard se retourna vers son ami pour la énième fois du cours, se demandant qu'est-ce qui pouvait bien autant occuper ses pensées. Il n'était pas du genre à se déconcentrer aussi facilement, c'était même plutôt le contraire. Rei était très pointilleux et n'acceptait pas d'avoir des notes en dessous de quinze. Mais cette-fois-ci c'était un cas de force majeur.

    Son ami lui cachait quelque chose, et il comptait bien découvrir quoi.

     

     

    - On rentre ensemble ?

    - Pas ce soir, je dois faire un détour.

    Le noiraud s'attendait à cette réponse.

    - Je vois, à demain alors.

    - A demain Rei-chan !

    Le jeune homme partit en direction du shinkanzen, mais au lieu de prendre l'embranchement à gauche comme il aurait du le faire, il se retourna et se mit à suivre son camarade, bien déterminé à le pister s'il le fallait…

     

     

    Sur toute les possibilités, les statistiques prouvaient clairement que la probabilité qu'il tombe sur… ça était quasiment nulle.

    Nagisa Hazuki, dans un café, assis tranquillement à une table, devant un verre de jus d'orange, souriant, parlait comme si de rien n'était à Nitori Aichiro, également surnommé Ai-chan par ses bons soins. Par ailleurs, ce dernier semblait plus détendu qu'à l'accoutumée, son air constamment craintif avait disparu, remplacé par de l'amusement, mais également par un autre sentiment bien plus néfaste ressemblant presque à de la tristesse, en plus dramatique.

    Rei ne comprenait pas, il était perdu. C'était lui que son ami rejoignait à chaque fois ? Pour quoi ? Ou alors étais-ce seulement un hasard. Il ne savait plus quoi penser.

    Le lunetteux était plongé dans ses réflexions lorsque les deux nageurs sortirent tous deux du café. Simultanément, il se cacha derrière un poteau, les observant s'éloigner au fur et à mesure.

    Ainsi, c'était lui qui était à l'origine du changement chez son ami. Étrange. Cela pouvait autant être une coïncidence, mais ça défierait toute logique, et qui sait combien le jeune homme se basait sur la théorie. En principe, il n'y avait aucune chance que tout cela soit du au hasard.

    Conclusion : Il ne lui restait plus qu'à comprendre.

     

     

    Rei se faisait l'effet d'un stalker.

    Voilà trois jours qu'il suivait secrètement son camarade à la fin des cours, son apparence modestement modifiée par un chapeau et une moustache, talonnant les deux jeunes hommes partout où ils allaient.

    Parce-qu'en effet, Nagisa se retrouvait toujours avec son rival de Samezuka, s'accompagnant pour la fin de journée comme s'ils étaient de vieux amis.

    L'athlète releva discrètement les yeux du livre qu'il feignit de lire, chose inutile puisqu'il le tenait à l'envers, et observa les deux adolescents à travers ses lunettes, assis quelques tables plus loin. Ils se trouvaient dans une bibliothèque, ce qui n'était pas le genre du blond, donc c'était probablement Nitori qui avait proposé ce lieu. Ce qui l'étonnait, c'était que son ami, d'un naturel gamin parfois capricieux, ait accepté. Rei ne put s'empêcher de se sentir vexé, lui qui avait tenté à maintes reprises de l'emmener dans ce lieu, il n'avait jamais cédé, et voilà qu'il le faisait avec ce garçon. Qu'avait-il de si spécial ?

    Les joues gonflées en un signe évident de jalousie, le brun observa son camarade parler à ce mec dont il ne connaissait rien. Il ne parlait pas comme à l'école. Cette fois-ci il avait un air sérieux, presque grave, qu'il ne lui avait jamais vu. De quoi pouvaient-ils bien parler ? Malgré ses efforts pour tendre l'oreille un maximum, il n'entendit rien.

    Mais le mystère était entier, il n'avait pas comprit et ne comprenait toujours pas la raison de leurs retrouvailles quotidiennes. C'était louche. Comme s'il se tramait quelque chose. Et le jeune homme comptait bien découvrir quoi.

    Il n'était pas couché…

     

     

    Une semaine que le calvaire durait.

    Une semaine entière de filature quotidienne à travers la ville, comme s'il avait été un simple pervers espionnant des momes. C'était si dégradant pour lui, d'autant plus que son enquête n'avait pas avancé d'un poil. Il en était toujours au même point qu'il y à une semaine, si ce n'était qu'il se posait plus encore de questions.

    Quel lien avait-il avec Nitori ? Pourquoi se retrouvaient-ils tous les soirs ? Quel était la raison pour laquelle il ne lui avait pas dit ? Tout ça avait-il un lien avec sa soudaine baisse de morale ?

    En effet, la relation entre les deux rivaux étaient spéciale. Ils se contentaient de se voir, souvent de partageur une douceur telle qu'une boisson ou d'une pâtisserie, de discuter, et de se séparer. C'était tout. Rien d'autre n'était échangé. Sauf quelquefois une étreinte amicale, un sourire, des mots d'encouragements . Et rien d'autre. Alors pourquoi faire tout ce chemin pour ça ? Quel intérêt y avait-il à ça ? Il aurait lui même pu faire l'affaire s'il ne s'agissait que de sortir faire un tour ! Et pourquoi se sentait-il aussi vexé, d'abord ? Parce qu'il se sentait mit à l'écart ? Pfff, ridicule. Il devenait pathétique. Ça n'était pas beau du tout.

    Tellement distrait, il ne vit pas son camarade prendre un tournant alors qu'il se trouvait dans un parc publique, mangeant une glace avec le jeune homme aux cheveux gris tout en riants d'il ne savait quoi. En une seconde il avait perdu leur trace.

    Rei soupira, las, et s'assit sur le banc le plus proche. Il n'avait aucune chance de les retrouver dans un lieu aussi grand, de toute façon. Son mercredi après-midi était fichu. Un nouveau soupir franchit ses lèvres alors qu'il retirait le chapeau de pêcheur et la moustache de vieillard qui lui servaient de déguisement. Étrangement pâteux, sans aucune envie particulière, il se mit à fixer les fourmis au sol qui se suivaient à la queue leu-leu. Elles au moins avaient une belle vie, elles n'avaient pas ce genre de soucis.

    - Rei-chan !

    Le concerné releva brusquement la tête alors que son cœur ratait un battement. Il avait reconnu cette voix, il l'aurait reconnu entre mille. Nagisa Hazuki, tout sourire, courait en sa direction en agitant le bras en signe de salut, Nitori le suivant à pas plus modéré.

    - Nagisa-kun…

    Le brun ne feignit pas sa surprise, il était vraiment étonné. Qu'allait-il bien pouvoir lui dire ?

    Arrivé à sa hauteur, le jeune homme lécha quelques gouttes de glace qui avaient coulées avant de lui demander :

    - Qu'est-ce que tu fais là, Rei-chan ?

    Je t'espionne avec ton ami.

    - Je prends l'air, et toi ?

    - Je me promène avec Ai-chan !

    Rei fit mine de remarquer seulement maintenant la présence de l'autre nageur, levant un sourcil, il reporta son regard sur son équipier, qui était occupé avec sa glace, le fixant de ses yeux roses tandis que sa langue s'aventurait sur le bâtonnet sucré d'une manière peu conventionnelle. Le caractère du blond avait toujours comporté cet aspect, une sorte de sensualité mesquine cachée. Le plus grand cacha ses rougeurs naissantes en faisant semblant de remonter ses lunettes.

    - Je vois… et que faites-vous tous les deux ?

    Le regard de son ami se durcit.

    - On en parlera demain.

    Sur ce, il prit son accompagnateur par se bras et le planta là.

    Rei se demandait ce qui pouvait bien le préoccuper ainsi.

     

     

    Nagisa ne lui avait pas parlé de la journée, mais ne l'avait pas évité non plus. Juste ignoré. Ce qui était sans doute bien pire. Les pires scénarios s’entraînaient dans la tête du papillon qui commençait à réellement s’inquiéter, intrigué un maximum par le fait que le blond puisse traîner avec ce garçon pour une quelconque raison, mais également par l'envie de connaître la raison de son éloignement soudain de la veille.

    Alors quand vint la fin de l’entraînement du soir, alors qu'il ne restait plus qu'eux deux et Haru dans les vestiaires, il l'appela finalement.

    - Nagisa-kun.

    Ce dernier se figea, pressentant ce qu'il allait lui demander.

    - Nous avons à parler, réjoins-moi près de la piscine.

    Une minute après, ils se faisaient face, silencieux.

    - Tu passes beaucoup de temps avec lui ces temps-ci.

    Ça n'était pas une question, juste une remarque dite sur un ton un peu trop tranchant, presque comme un reproche.

    - Et alors ? J'ai bien le droit de traîner avec qui je veux.

    - Évidemment, et même si ça ne me plaît pas plus que ça je ne suis pas en position de t'en empêcher. Ce que j'aimerais savoir, c'est pourquoi.

    - On dirait presque que tu es jaloux.

    Le brun détourna la tête, et en bon tsundere qu'il était, il répondit :

    - Pas du tout ! Je veux juste savoir ! C'est mon droit, non ?

    Le sourire habituel du blond le quitta, et il s'assit près de la piscine, fixant les légères ondulations de l'eau à la surface pour se donner du courage.

    - Ai-chan et moi… sommes dans la même situation en ce moment, alors nous retrouver nous réconforte en quelque sorte.

    Sa curiosité était piquée à vif.

    - Quelle situation ?

    - Nous aimons tous les deux quelqu'un avec qui il nous est impossible de sortir.

    L'étudiant ouvrit la bouche, plus que choqué. Pour Nitori, ça n'avait rien d'étonnant, tout le monde savait qu'il craquait pour le frère de Gou alors que celui-ci n'avait d'yeux que pour le fou de nage libre, mais Nagisa…

    - Tu es amoureux de quelqu'un ?

    Pourquoi le simple fait de poser cette question à voit haute lui faisait aussi mal ?

    - C'est un amour à sens unique. Sa logique va contre les sentiments de ce genre. L'idée seule d'aimer le rebute alors…

    - Qui est-ce ?

    Nagisa se tut, pensif. Le cœur de Rei battait à cent à l'heure.

    - Tu le sais.

    Moi.

    Tout devint plus clair dans sa tête alors qu'il devenait rouge tomate, son propre cœur le lâchant alors qu'il se rendait compte que si son ami avait tant souffert, c'était par sa faute, parce-qu'il n'était pas doué pour s'exprimer.

    - Je suis pudique, idiot, et je suis désolé. Si j'avais su je te l'aurais dit plus tôt…

    - Dire quoi ?

    - J'ai beau être contre, je ne peux pas aller en travers de mon cœur. Et il se trouve que celui-ci est très attiré par toi…

    Il y eut une minute de flottement pour que les deux réalisent ce que cela impliquait et rougissent, gênés, avant que Nagisa, trop heureux, ne lui saute au cou, le faisant chuter au sol.

    - Rei-chan ! Nous sommes vraiment irrécupérables !

    Leur attirance était réciproque tout ce temps, et eux l'avaient perdus en croyant qu'elle ne l'était pas, il y avait de quoi s'en vouloir.

    Le blond commença par l'embrasser fougueusement, ne voulant pas perdre une seconde de plus qu'ils avaient déjà perdus, aux anges de pouvoir enfin faire ça avec celui qu'il aimait de toute son âme. Ce simple geste le fit trembler de tous ses membres alors que la chaleur le gagnait dans tout son bas ventre, une sensation exquise, grisante.

    - Rei-chan …

    Son nom murmuré d'une façon si luxurieuse fit trembler le brun alors qu'une bouffée de chaleur gagnait son bas-ventre, le faisait adorablement rougir.

    - Rei-chan… caresses-moi…

    Nouvelle montée de chaleur, le sang lui monta encore plus au visage, lui brûlant les joues. C'était la première fois de sa vie qu'il avait une telle proximité avec un être humain, et il se sentait au plus gêné malgré lui. Et pourtant, une partie de lui voulait continuer à tout prix cette délicieuse exploration qui le rendait fiévreux.

    Prenant son courage à deux mains, il posa ses mains dans le dos de son partenaire qui, en réaction, planta ses ongles dans ses épaules alors qu'il continuaient à l'embrasser fougueusement. Tendrement, Rei tata sa peau tendre, l'effleura, la caressa alors qu'il sentait des frissons parcourir la chair de son ami sous ses doigts fins. Ce qui l'excitait au plus.

    Sans se précipiter, ses mains commencèrent doucement à descendre au creux des reins de Nagisa, jusqu'à atteindre l'élastique de son maillot de bain qu'il franchit timidement, ayant ainsi l'opportunité de toucher cette partie de lui qui était si intime. Le blond gémit entre deux baisers.

    - On ferait mieux… d'aller à l'intérieur.

    L'étudiant n'avait rien contre cette idée, au contraire c'était une bonne proposition.

    Il souleva sans grande difficulté le corps svelte de son camarade qui, continuant à l'embrasser, entoura ses jambes autour de sa taille, faisant ainsi se rencontrer leurs deux intimités à travers le tissus du maillot de bain. Ils étaient déjà bien excités.

    Ce fut presque en courant qu'ils rejoignirent les vestiaires vides d'Iwatobi, le noiraud posant le plus petit sur un des bancs et s’arrêtant soudain de l'embrasser. Le mini soleil le regarda avec des yeux roses comme il n'en avait jamais vu, emplis de désir uniquement dirigé vers lui.

    Il détourna le regard, rouge.

    - Tu es sur que tu veux continuer ?

    Il redoutait une réponse négative.

    Pour toute réponse, une main vint englober son intimité éveillée à travers son maillot, le faisant sursauter avant de se mordre la lèvre, plus rouge que jamais.

    - Je crois que ce bonhomme ne serait pas tellement d'accord si je refuse, et puis ça fait un moment que je veux le faire avec toi.

    Rei accueillit cette nouvelle avec un bégaiement gêné, et le fut encore plus lorsque le blond baissa d'un coup la seule barrière entre eux, dévoilant à son regard brillant d'envie son anatomie érigée.

    - Elle est très grosse. J’espère que ça va rentrer facilement. Commenta le plus jeune en posant ses lèvres sur la hampe.

    Le brun gémit sans restriction, son teint rivalisant à présent avec la couleur de ses lunettes, et se laissa aller à cette nouvelle sorte de plaisir qui l'envahit. Nagisa, joueur, fit balader sa langue le long du membre enflé avant de l'avaler totalement, activant quelques vas-et-viens langoureux. C'était très beau, un chef-d’œuvre pour ses yeux et ses sens.

    Puis soudain tout prit fin, le blond s'arrêta et retira son maillot, son ami rougit à la vue de cet objet gonflé uniquement grâce à lui. Puis le pingouin parla.

    - Je veux que tu me prennes, Rei-chan. Profondément.

    Comment résister à cette bouille d'ange ajoutée avec cette expression perverse ?

    Les joues rosies, il alla fouiller derrière un des bancs, en ressortant un tube de lubrifiant, Nagisa le regarda avec de grands yeux ronds.

    - Rin-sempai et Haruka-sempai m'ont dit que ça pourrait me servir un jour, j'imagine qu'ils savaient déjà…

    - Probablement.

    Silence gêné.

    - Je vais…

    - Laisses-moi faire. L’interrompit le bout-en-train, le faisant à nouveau rougir.

    Celui-ci prit sa main et le fit s'allonger sur un des bancs assez large avant de s'asseoir sur ses cuisses les jambes écartées. Puis il prit le tube des mains de son amant en en versa une bonne partie sur le membre du plus agé et l'autre sur ses propres doigts. Rei se sentit gêné de ne pas l'aider à réaliser cette tâche, normalement c'était à lui de faire ce genre de truc.

    - Tu es sur que…

    Le blondin sourit, attendri par tant d'attention à son égard, et lui caressa la joue avant de baiser tendrement le front de son équipier.

    - C'est bon.

    Prenant une profonde inspiration, il s'inséra deux doigts d'un coup, ce qui eut le don de le faire crier, quelques larmes coulant au coin de ses yeux . Rei regarda cet horrible spectacle, impuissant. Avec peine, il commença à faire bouger les doigts en lui, lentement, puis de plus en plus rapidement. La douleur laissa rapidement place à une autre sensation qui le fit gémir.

    -Hmm…

    Il imprima des vas et viens de ciseaux de plus en plus rapides alors que son ami avait les yeux et la bouche grands ouverts, de la bave coulant à la commissure de ses lèvres alors qu'il observait son meilleur ami et maintenant amant s'infliger ce genre de traitement, les rendant tous deux encore plus rigides qu'ils ne l'étaient déjà.

    Voulant à tout prix faire partie de ce plaisir, le noiraud mit la main sur le membre de son camarade et commença à le masturber à cadence rapide, les faisant gémir de concert.

    - Rei-chan ! Viens ! Mets-là !

    Et sur ces mots Nagisa retira ses doigts et s'empala sur la longueur de son ami, rouge pivoine, et commença son assertion rapide, saccadée, rentrant et ressortant avec rapidité, tant de fois où son anatomie touchait sa prostate, tant de fois où il criait son surnom, tant de fois où ils gémirent en synchronisation.

    Puis vint le moment fatal où ils se libérèrent, à bout de souffles, tremblants d'une telle source de plaisir. Tremblent de s'aimer autant.

    Nagisa fut le premier à reprendre conscience. Narquois, il dit :

    - J’espère que maintenant tu ne seras plus jaloux.

    Rei aurait plus s'insurger, mais il préféra lui rendre son sourire et remonter ses lunettes.

    - Si j'ai le droit à ça à chaque fois que je fais une crise, alors attends-toi à que ça arrive souvent.

    Et ils rirent, simplement heureux.


  • Commentaires

    1
    Pouika
    Mardi 2 Décembre 2014 à 14:50

    C'est chaud par ici, je pense qu'une bonne douche froide les calmera !

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